Luxure et littérature

Ah ! j’adore titiller votre curiosité, j’allais dire votre lubricité…, oups! il faut que je me tienne, nous sommes dans une maison sérieuse, Madame, Monsieur ! Pour vous faire patienter jusqu’à la semaine prochaine durant laquelle SKA va publier sa « bombe », voici encore un extrait un peu plus chaud que le précédent…

« Poussant un hurlement terrible, elle tomba à la renverse, luttant contre l’épouvantable jouissance.
—　Ah mon Dieu, Jacques, arrête, mon enfant, je t’en supplie, tu me tues.
Des larmes d’angoisse baignaient ses joues tandis qu’elle essayait de contenir les geysers de plaisir qui lui labouraient le ventre. Jacques, ne la voyant toujours pas, enfonçait sa langue au plus profond, frottant contre les nymphes le duvet blond de sa barbe d’enfant. Il semblait qu’il ne pût se rassasier. La petite diablesse revint, portant haut un priape brillant autour duquel s’enroulaient des petits serpents fort agiles. Thérèse vit que l’objet lui tenait ferme au ventre, quoiqu’elle eût au-dessus une gorge opulente aux tétons bien dressés. Des bourses qui eussent été mieux à leur place sous le ventre d’un âne lui roulaient sur les cuisses. Elle semblait trouver cela fort drôle. La pauvre mère, se pensant la proie d’un cauchemar, préféra fermer les yeux. Mais elle n’eut pas l’esprit de fermer aussi vite les jambes; et elle eut à peine senti la tête du monstre pousser entre ses cuisses que déjà il s’enfonçait à furieuses poussées jusqu’au fond de ses entrailles.
—　Douce Sainte Vierge, s’écria-t-elle…»

Diablerie littéraire, vous dis-je !

Votre Miss Ska