Le traducteur de polar islandais a l’ouïe délicate… MON VOISIN continue à m’obséder. Au point de l’imaginer à la place de chacune des victimes qui finissent assassinées dans les polars que je traduis pour gagner ma pitance. Maigre, ma pitance, rien à voir avec les choux gras d’un tueur à gages. Ne rêvons pas, je... Lire la Suite →